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Société d'étude des langages du politique

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Al-Matary Sarah

fin août 2015

Sarah Al-Matary (université Lyon 2, UMR 5317 IHRIM)

Enseignante-chercheuse spécialisée dans les relations qu’entretiennent la littérature et les idéologies aux XIXe et XXe siècles, je prête une attention particulière aux « langages du politique ». En témoigne ma thèse, consacrée à l’idée de « race », ce mot dont Maurice Tournier écrivait – alors que je n’étais encore qu’en classe de cinquième – qu’il avait « perdu la raison »… Dans cette étude comparatiste, sensible à l’écart qui séparait les usages du mot « race » en français et en espagnol, j’envisageais les différentes acceptions (biologique, mais aussi linguistique, sociale et ethnico-confessionnelle) de l’expression « race(s) latine(s) », sans oublier que cette expression ne circonscrivait pas entièrement la réalité qu’elle décrivait.

Passionnée depuis lors par les discours de « réaction » ‒ d’où qu’ils émanent ‒, je m’intéresse à la polémique comme observatoire privilégié de l’histoire intellectuelle, mais aussi comme moyen de dépasser l’approche monographique et canonique de la littérature. C’est sous cet angle que je prépare une histoire de l’anti-intellectualisme en France (XIXe-XXIe siècles).

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Motion contre la LPPR

La LPPR, votée par l’Assemblée nationale et le Sénat (alors même que le gouvernement ne dispose pas d’une majorité à la Chambre haute), en dépit des avis du Conseil économique et social et du Haut Conseil pour l’égalité,  modifie profondément les institutions de la recherche et de l’enseignement supérieur dans le sens d’une plus grande subordination au pouvoir politique en la dépouillant de son indépendance.

La SELP dénonce l’absence de concertation et la brutalité des moyens employés par le gouvernement dans le processus d’adoption de cette loi (procédure accélérée pendant les confinements du printemps et de l’automne), appelle les candidates et les candidats aux prochaines élections républicaines à s’engager dans une voie de concertation avec l’ESR afin de réécrire une loi qui soit profitable à toutes et tous et dégage la recherche et l’enseignement supérieur des pièges de la concurrence immédiate à laquelle les condamne l’actuelle loi.