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Catégorie : Présidentielle 2022

« Z »

21 mars 202221 mars 2022 Paul Bacot
Si Eric Zemmour n'a pas encore officialisé sa possible candidature, des militants ont placardé des affiches de soutien dans Paris. LP/Olivier Corsan
LP/Olivier Corsan
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Un char russe siglé du mystérieux «Z», le 25 février dans la région du Donbass. (Gabriele Micalizzi /Cesura pour Libération)

Zut ! La coïncidence est pour le moins fâcheuse. Au moment où les jeunes supporters d’Éric Zemmour, ceux de Génération Z, placardent le portrait de leur candidat accompagné de la lettre Z, les jeunes et les moins jeunes supporters de Vladimir Poutine tracent un peu partout la même lettre pour dire leur soutien à l’agression contre l’Ukraine. Dans le même temps, les soldats russes décorent leurs tanks du même symbole. Signe de distinction sur le champ de bataille pour les engins envahisseurs ou indication d’une zone de l’Ukraine à occuper ? On l’ignore, mais on sait que le président russe a célébré l’anniversaire de l’annexion de la Crimée devant deux slogans de facture assez classique, que l’on peut traduire ainsi : « Pour une paix sans nazisme » et « Pour la Russie », étant précisé que pour se dit za en russe et que la graphie des deux Za majorait la lettre Z –latine et non pas cyrillique.

L’usage de lettres dans la propagande électorale ne peut être considéré comme un marqueur des candidats d’extrême droite, mais Marine Le Pen joue aussi avec l’initiale, non pas de son nom mais de son prénom, non pour dire la guerre mais l’amour. La France qu’on M et M la France comptent parmi les slogans de sa troisième campagne présidentielle, tandis que son site a pour adresse MlaFrance.fr. Voici une candidature féminine présentée comme résolument moderne et porteuse d’un nationalisme à visage humain, quand son concurrent immédiat préfère l’image virile du manieur d’épée Zorro. Monsieur Z versus Madame M… Rien de commun avec ce candidat à la candidature identifié comme Monsieur X : Gaston Defferre avant le scrutin de 1965.

Posted in Présidentielle 2022Tagged initiale, lettre, slogan, symbole

“Plus forts et plus heureux tous ensemble”

18 mars 202218 mars 2022 Dominique Desmarchelier
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Photographie : AFP

Emmanuel Macron, conférence de presse du 17 mars 2022

Cette formule, employée par le candidat Macron lors de sa conférence de presse fleuve (4 heures devant les journalistes), par un rapport d’interdiscursivité – aucune parole, aucun discours n’est jamais premier – semble renvoyer à la nouvelle devise olympique adoptée le 20 juillet 2021 à Tokyo :

« Plus vite, plus haut, plus fort – ensemble »

Ensemble, séparé par un tiret, a donc été ajouté. Rappelons que l’ancienne devise en latin était : « Citius – Altius – Fortius », ce qui signifie : Plus vite – Plus haut – Plus fort. On doit ces mots au prêtre dominicain Henri Didon lors de la cérémonie d’ouverture d’une épreuve sportive scolaire en 1881.

Mais, au-delà du clin d’œil évident à l’esprit olympique, on peut également s’interroger sur le « tous ». Et c’est un autre lien interdiscursif qui apparaît :

« Tous ensemble, tous ensemble, tous ! », slogan rythmé le plus souvent dans les manifestations par les militants de la CGT.

Le candidat espère-t-il ainsi rallier les votes populaires ?

Posted in Présidentielle 2022Tagged devise, interdiscursivité, slogan

« Mon adversaire, c’est l’injustice »

14 mars 202214 mars 2022 Paul Bacot
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AFP – Loic VENANCE

(Anne Hidalgo en meeting à Rennes le 11 mars 2022)

« Dans ce pays miné aujourd’hui par les inégalités dès le plus jeune âge, […] mon adversaire, c’est l’injustice ! » a déclaré la candidate socialiste, en écho au célèbre « Mon ennemi, c’est la finance » censé avoir été prononcé par François Hollande au Bourget le 22 janvier 2012. En réalité, le futur président de la République avait dit : « Mon véritable adversaire, […] c’est le monde de la finance ». Cette forme d’interdiscursivité qu’est l’évocation, à travers une citation implicite, d’un précédent propos tenu par un autre locuteur, peut s’expliquer par la recherche du bénéfice de l’autorité reconnue à ce dernier, ou encore par celle de l’efficacité attribuée à sa performance rhétorique.

Ce qui relie ces deux segments de discours est la forme /X, c’est Y/, qui pointe un sujet prioritaire (un adversaire : le monde de la finance ou l’injustice) tout en reconnaissant la nécessité de la proclamation de cette désignation – nuance renforcée chez Hollande par la présence de l’adjectif véritable, mais qui du coup est perçue même in absentia chez Hidalgo.

On peut aussi s’attarder sur la substitution d’un syntagme nominal à un autre – l’injustice à le monde de la finance. N’est plus dénoncé un ensemble de personnes remplissant une fonction somme toute indispensable, mais un système fondé sur le déni d’une valeur pourtant, au moins formellement, unanimement proclamée. La cible est plus abstraite mais difficilement contestable.

Les scores comparés des deux candidats socialistes, à dix ans d’intervalle, ne nous diront pas laquelle des deux phrases aura été la plus mobilisatrice, trop de choses étant inégales par ailleurs : on est bien loin d’une situation expérimentale.

Posted in Présidentielle 2022Tagged citation, in absentia, interdiscursivité, syntagme nominal

« Il n’y a pas de fatalité, ni au grand déclassement, ni au grand remplacement »

11 mars 202212 mars 2022 Hugues Constantin de Chanay
La candidate LR se defend de reprendre a son compte la theorie du << grand remplacement >>.
Photographie : Julien de Rosa AFP

Valérie Pécresse en meeting le 13 février 2022

L’emprunt dialogique est patent : nom d’une thèse complotiste initialement tenue, en 2010, par Renaud Camus, d’où son sens spécifique /substitution programmée en Europe d’une population « étrangère » à une population « de souche »/, l’expression « grand remplacement » s’est surtout répandue dans certains courants de l’extrême droite, sans avoir d’ailleurs de  véritable droit de cité avant 2021 (où elle a été « labellisée Éric Zemmour ») : en la reprenant Valérie Pécresse, qu’elle le veuille ou non, rallie son discours à cette tendance politique. Mais en outre elle en accrédite la thèse : l’article défini (« au » est la contraction de « à le ») est porteur d’un présupposé d’existence – voilà donc ce « remplacement » reconnu par elle dans sa réalité.

On peut supposer que par la coordination le premier syntagme (« ni au grand déclassement »), calque de même morphologie que le second, homorythmique et homéotéleute, cherche à le minimiser en le dissolvant dans un tout et en le faisant bénéficier de son passe-droit et de son éventuelle vertu euphémisante (on ne peut qu’être d’accord avec la légitimation d’un manque général de pouvoir d’achat) : amalgame donc.

Qui a aussi un peu de mémoire – cette fois-ci « auto-dialogique » – rapproche ce « remplacement » d’un autre emprunt récent (5 janvier 2022) de la candidate voulant ressortir de sa cave le « Kärcher » que Nicolas Sarkozy, le 16 juin 2005, avait métaphoriquement promis d’utiliser dans les banlieues. Entre ces deux occurrences, la rhétorique permet de constater une gradation entre deux termes argumentativement co-orientés vers des options dites « de droite », et donc de repérer dans le discours une escalade droitière…

Posted in Présidentielle 2022Tagged amlagame, artice défini, auto-dialogisme, calque, contraction, coordination, dialogisme, euphémisme, gradation, homéotéleute, homorythmie, métaphore, morphologie, occurrence, présupposé d'existence, sens spécifique, syntagme

« Lettre aux Français »

7 mars 20227 mars 2022 Paul Bacot
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(Emmanuel Macron, 3 mars 2022)

François Mitterrand déclare sa candidature à un second mandat présidentiel, le 22 mars 1988 sur Antenne 2, en répondant simplement « oui » à la question que lui pose Henri Sannier – « êtes-vous à nouveau candidat à la présidence de la République ? » –  puis il publie une Lettre à tous les Français, le 7 avril, pour exposer son bilan et énoncer son programme. Trente-quatre ans plus tard, Emmanuel Macron pratique le « tout en un » dans une Lettre aux Français. Entre temps, Nicolas Sarkozy diffuse de semblables Lettres en 2007 et 2012. Et qui se souvient de la Lettre aux Françaises et aux Français écrite par le candidat Pierre Marcilhacy, six mois avant l’élection présidentielle de 1965 ?

La connotation très personnelle du mot lettre, alors même que le message s’adresse à plusieurs dizaines de millions de personnes, est bien en ligne avec la fameuse définition de l’élection présidentielle, généralement attribuée au général de Gaulle : la rencontre d’un homme et d’un peuple. Mais le choix d’un tel intitulé suppose une sorte de métaphore, construite sur l’analogie entre deux types de textes écrits adressés, l’un à une personne ou à quelques destinataires bien identifiés, l’autre à un large collectif dont la majeure partie n’en sera jamais réellement destinataire. La figure de la synecdoque qui permet de passer du peuple à l’individu dans sa singularité, apparaît comme un moyen finalement assez classique pour tenter de réduire une distance entre gouvernants et gouvernés volontiers considérée comme s’accroissant dangereusement.

Posted in Présidentielle 2022Tagged métaphore, synecdoque

« Parrainer n’est pas soutenir »

28 février 202228 février 2022 Paul Bacot
Présidentielle 2022. Réforme des parrainages : Gérard Larcher met trois  propositions sur la table
Gérard Larcher, France Inter, 11 janvier 2022

La déclaration du président du Sénat a été reprise par de nombreux acteurs et commentateurs de la vie politique : parrainer, pour la quarantaine de milliers d’élus habilités à donner leur signature pour un candidat à la présidentielle, ne vaudrait pas approbation des idées et des propositions de celui-ci. Mais le droit est le droit, et la langue française est la langue française.

L’article 3 de la loi organique du 6 novembre 1962, modifiée à plusieurs reprises, qui organise la sélection des candidats à l’élection présidentielle, ne fait aucunement usage des mots parrainage, parrainer ou parrain. Elle stipule que « la liste des candidats est préalablement établie par le Conseil constitutionnel au vu des présentations qui lui sont adressées », et que ledit Conseil « doit s’assurer du consentement des personnes présentées » et rendre publics « le nom et la qualité des citoyens qui ont valablement présenté des candidats ».

Or, selon le Petit Robert, le verbe présenter, lorsqu’il est transitif, signifie soit « montrer » (on peut dire que l’on présente sa candidature à un poste), soit « faire connaître à quelqu’un », en présentant une personne à une autre, ou quelqu’un pour un emploi en le proposant (un parti présente un candidat à une élection). Présenter un candidat, c’est donc clairement le proposer à ses concitoyens.

Le recours à la métaphore du parrainage ne change rien à l’affaire : le parrainage est un « soutien » et parrainer c’est « soutenir », « présenter en tant que parrain ».

Posted in Présidentielle 2022Tagged métaphore

“C’est moi le plus haut !”

8 février 20228 février 2022 Hugues Constantin de Chanay
(dessin de Soulcié diffusé sur Facebook la première semaine de janvier)

On reconnaît dans ce quatuor, sorte de microsystème structural – les conditions nécessaires et suffisantes à l’identification y sont différentielles, ce qui autorise des prédications nouvelles –, Christiane Taubira, entre autres à son air toujours sévère, Yannick Jacot sans autre vraie caractéristique qu’un nez discrètement tubéreux, Jean-Luc Mélenchon à des lunettes laissant voir des yeux agrandis, peut-être même « illuminés » (métaphore et hypallage pour un trait de caractère dont il serait doté), Anne Hidalgo plutôt « neutre » (il est possible que le dessin la voie fade) et assurément mécontente de quelque chose. Mais ce dessin présente surtout, par une mise en scène polyphonique, l’entre-soi d’une gauche qui serait inattentive à tout ce qui n’est pas elle, deux points de vue antithétiques étant représentés : d’une part celui de la gauche, porté par le discours attribué à Jean-Luc Mélenchon qui se félicite via une métaphore diagrammatique courante (« c’est moi le plus haut » : la position occupée sur l’axe de la verticalité représente un classement sur l’axe des avantages et des handicaps) ; et d’autre part celui du dessinateur et du lecteur : les icônes abstraites (trait matérialisant les positions antérieurement occupées par les personnages) font de l’image l’illustration d’une métaphore linguistique, également diagrammatique, à vrai dire la même, que le lexique a figée : ils sont « en chute libre », et quelle que soit la position qu’ils occupent par rapport aux autres, ils arriveront toujours plus bas.

Posted in Présidentielle 2022Tagged antithèse, figement, hypallage, lexique, métaphore, métaphore diagrammatique, microsystème structural, polyphonie, prédications

« Vous resterez le Président de l’inaction climatique »

1 février 20221 février 2022 Hugues Constantin de Chanay
Gonzalo Fuentes/Reuters

(Yannick Jadot devant le Parlement européen, 10 janvier 2022)

Ainsi Yannick Jadot a-t-il qualifié Emmanuel Macron, et si ses mots se donnent comme faisant mouche, c’est qu’intervient en amont une maxime interprétative dite de pertinence (tout discours est crédité d’opportunité) : innombrables sont en effet les inactions que l’on peut reprocher à quelqu’un ; mais une inaction pertinente suppose par antithèse implicite une action qu’il aurait été urgent d’accomplir et qui ne l’est pas. Il s’agit en l’occurrence de la lutte contre le changement climatique, terrain où l’on attend l’expertise de l’écologiste qu’est Yannick Jadot, lequel atteste par là de l’éthos que l’on attend de lui, non seulement par la phronèsis (compétence) mais aussi par l’arétè (vertu – double ici : d’à-propos et de courage d’affronter une réalité effrayante). Exploitant dans ce bilan négatif la capacité du discours à référer à ce qui n’existe pas, telle l’inaction pointée ici, Yannick Jadot illustre ainsi, en ces temps de présidentielle imminente, que le discours seul peut, en l’espèce en creux et par une autre antithèse sous-entendue (moi, ce président, je ne le serai pas !), dessiner un programme : parler de ce qui n’existe pas encore.

Posted in Présidentielle 2022Tagged antithèse implicite, arétè, ethos, maxime de pertinence, phronèsis, référence

« C’est un peu notre Arlette Laguiller de la droite nationale, Marine Le Pen »

17 janvier 202217 janvier 2022 Paul Bacot

Éric Zemmour sur BFMTV le 12 janvier 2022

Faire précéder un nom propre (ici un anthroponyme) d’un déterminant (ici un adjectif possessif) transforme le premier en nom commun par antonomase. Une réalité unique devient l’élément archétypique permettant de désigner une catégorie. Pour Éric Zemmour, quelle est donc la caractéristique d’Arlette Laguiller que l’on peut retrouver chez d’autres protagonistes des scrutins présidentiels, dont Marine Le Pen ? Leur commune orientation extrémiste n’est certainement pas en cause pour l’ancien polémiste de CNews, pas plus que leurs scores, très inégaux. Ce qu’Éric Zemmour reproche explicitement à Marine Le Pen est qu’elle porte une candidature de routine. Pourtant, ce n’est que la troisième fois qu’elle postule à la présidence de la République, alors qu’Arlette Laguiller l’a fait à six reprises. Jacques Chirac, François Mitterrand et Jean-Marie Le Pen ont candidaté plus souvent que la fille de ce dernier. Peut-être faut-il aller chercher d’autres motivations plus implicites, comme le fait qu’Arlette Laguiller est la plus connue dans la catégorie des petits candidats : Marine Le Pen ne jouerait pas dans la cour des grands. Ou encore le fait qu’Arlette a été la première femme à candidater à une présidentielle : Éric Zemmour renverrait ainsi Marine à ses casseroles, et son parti à son incapacité à se doter d’un héraut doté de cette virilité qui sied selon lui à un chef de l’Etat.

Posted in Présidentielle 2022Tagged anthroponyme, antonomase

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